Si vous ne vous respectez pas, vos collègues ne le feront peut-être pas aussi! Alors, s’imposer fait référence à l’attitude humaine consistant à exprimer ses idées, à défendre ses droits, à communiquer ses émotions, sans peur et sans piétiner ni blesser l’autre. Avoir un comportement affirmatif au bureau peut donc être très important afin d’atteindre plus facilement les objectifs fixés et se faire respecter au travail.
Comment s’imposer pour se faire respecter
Combien de fois avez-vous vécu des situations dans lesquelles il était « impossible » d’affirmer vos opinions, de vous retrouver contraint d’adopter une attitude de soumission face à un collègue plus agressif ou, au contraire, d’utiliser vous-même l’agressivité et l’arrogance pour défendre un point de vue? Si ces circonstances avaient été gérées différemment, la solution serait venue plus tôt et plus facilement. S’imposer sur le lieu de travail signifie avoir de meilleures relations interpersonnelles et professionnelles, gérer les problèmes critiques avec un pouls ferme et proactif, améliorer le climat d’entreprise et le bien-être entre collègues.
Ne vous sous estimez pas
Selon la manière dont vous vous traitez cela montre aux autres comment le faire en retour vers vous.
Lorsqu’on remarque que vous ne vous donnez aucune valeur et que vous présentez un faible estime de vous-même alors cela leurs poussent à vous marcher dessus tout simplement et ne pas vous respecter.
Car si vous ne vous accordez aucune de valeur alors ils feront pareil avec vous.
Ainsi il faudra travailler davantage pour rehausser votre valeur et avoir une valeur, une estime de soi et enfin réaliser que vous comptez.
Évitez de remettre les choses à plus tard.
L’un des plus gros problèmes au travail est la tendance à reporter les choses tout le temps.
Si vous y réfléchissez, la vraie raison n’est pas tant le manque de temps mais plutôt votre peur de les affronter.
Ce qui nous fait peur, nous le reléguons au grenier, bien que nous soyons conscients que ce n’est qu’en affrontant nos peurs que nous pourrions nous sentir vraiment libres et épanouis.
Face à un choix à faire ou à une activité très exigeante à mener, les agressifs réagiront avec l’impétuosité habituelle et tenteront de se décharger du problème sur les autres, tandis que les passifs, comme le dit le mot qui les identifie, feront de la passivité et de remettre continuellement leurs drapeaux.
Fuyez tout ça et apprenez à gérer les engagements avec assurance !
Prenez les bonnes décisions.
De même qu’il sait affronter les choses de face et avec détermination, sans les rebuter sans cesse, l’assertif est capable de peser efficacement les bonnes décisions à prendre dans son domaine professionnel, en évaluant objectivement le pour et le contre.
Pour ce faire, le comportement assertif nous apprend à éviter l’action impulsive typique de la personne agressive ou, à l’inverse, l’extrême mobilité du passif. Comme nous l’avons expliqué dans des posts précédents, la personne affirmée n’a pas peur de demander conseil à des personnes de confiance et de ce point de vue son as dans le trou pour prendre les bonnes décisions sans se tromper est de viser quand c’est nécessaire, en comparaison avec d’autres personnes de confiance.
Apprenez à dire NON
Le problème de répondre positivement sans jamais refuser d’accomplir des tâches est typique de la personne passive.
Le passif par peur de décevoir le collègue ou le supérieur direct n’a pas le courage de s’opposer et donc malgré son désaccord, il préfère réagir passivement sans affronter le problème.
Par conséquent il deviendra une proie facilement attaquée par les agressifs, audacieux et autoritaires, ne manquera pas l’occasion de se décharger de ses tâches.
La solution à ce problème est très simple : apprenez à dire NON !
Et c’est ce que fait une personne assertive lorsqu’elle ne juge pas objective une demande particulière d’un collègue ou d’un supérieur.
Gardez toujours votre calme.
S’imposer n’est jamais une histoire de précipitation!
Pour réagir objectivement face aux situations, il faut avoir le temps de les analyser et de les évaluer, sans agir par impulsion (comme le fait l’agressif) et sans trop tarder (attitude typique du passif).
La seule façon d’y parvenir est d’apprendre à rester calme dans n’importe quel type de situation. Si vous voulez devenir une personne respectable aux yeux de vos collègues au travail, vous devez donc faire preuve de maîtrise de soi et de patience.
Il ne sert à rien de sortir de sa colère et de se mettre à crier comme le font les personnes agressives, car en revanche le comportement des passifs qui restent immobiles et incapables de réagir n’est absolument pas constructif.
Si vous restez calme, vous serez capable de penser plus objectivement et vous pourrez mieux gérer n’importe quel problème. Ainsi vous gagnerez votre respect au travail rien qu’avec votre attitude.
Ne sous-estimez pas votre travail, défendez-le !
Être fier de son travail est essentiel pour se sentir bien sur le plan professionnel et se faire respecter. Cependant, les patrons ou les collègues ont souvent tendance à le saper injustement ou à s’attribuer le mérite de nos succès. Dans ces cas, il est impératif de communiquer sa frustration avec des mérites non reconnus. Exprimez simplement votre mécontentement d’une manière directe et calme.
Éviter de courir après les gens
Peu importe le milieu (professionnellement ou autres) éviter de le faire. Car en le faisant vous donnez trop d’importance et cela leur fait prendre de l’ascendance sur vous et ainsi vous devenez moins important. Alors pour être respecté sachez prendre du recul pour vous imposer.
Savoir écouter et donner son avis
Une personne affirmée sait écouter ce que les autres ont à dire à son sujet, sans le considérer comme une provocation personnelle ou avoir une relation qui pose un problème. Après tout, elle comprend que parfois elle peut ne pas voir les choses comme quelqu’un en dehors de la situation pourrait le faire. L’individu assertif est aussi un auditeur naturel, sachant analyser les opinions et filtrer ce qui est intéressant et peut y ajouter ou non. De plus, il reconnaît l’importance de la rétroaction.
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